12 décembre 2001, 0h00
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Les indices américains parviennent à franchir quelques résistances, mais les mauvais chiffres du chômage de vendredi dernier, ainsi que l’effondrement des marchés obligataires depuis deux semaines, rendent la prime de risque sur les actions de plus en plus chère, limitant très fortement le potentiel de hausse. En Europe, la faiblesse chronique de l’euro face au dollar depuis trois mois et les médiocres chiffres économiques des membres de la CEE ne parviennent pas à convaincre la Banque Centrale ...
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