17 avril 2009, 0h00
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«Je suis prêt à diriger Chrysler». «Il y a 50% de chances que l’accord capote». «Fiat pourrait acquérir des actifs de Chrysler en cas de faillite».
Depuis trois jours, Sergio Marchionne souffle le chaud et le froid sur les négociations entre Fiat et le troisième constructeur américain en vue d’une éventuelle alliance. Le pouls de Bob Nardelli, le directeur de Chrysler, fluctue paraît-il ces jours-ci au rythme des petites phrases assassines débitées par son homologue de Fiat. Qui pourrait très...
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