08 novembre 2006, 0h00
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Gregori Potemkine aimait à montrer à sa souveraine, Catherine II, les villages en trompe-l’œil faits de façades sans contenu, lorsque la tsarine voulait jauger le développement de son vaste empire. Les soviets avaient d’autres méthodes, tout aussi virtuelles, pour accréditer leur propagande sur les mérites du paradis socialiste et de la supériorité économique de l’empire rouge face à l’ennemi yankee. La Russie de Vladimir Poutine entre-t-elle dans la logique historique des miroirs aux alouettes ...
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