Le fléau du populisme nuit à la démocratisation de la Chine

Lorsque le premier ministre italien Romano Prodi annonça sa démission le 21 février 2007 – qui fut entre-temps refusée par le président Giorgio Napolitano – le spectre d’un retour au pouvoir de l’ancien premier ministre italien, le populiste Silvio Berlusconi, émergea à nouveau. Rappelons que, grâce à son populisme, Berlusconi réussit déjà à se maintenir pendant presque cinq ans au pouvoir depuis juin 2001 à mai 2006, soit l’un des plus longs mandats d’un chef de gouvernement italien de l’après-...