07 mai 2001, 0h00
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Au-delà de l’affaire des photos d’une ex-Miss de beauté sur le retour, reconvertie par la grâce du mariage en représentante de la Confédération à l’étranger, perce le malaise de la carrière diplomatique. Certes les photos publiées dans le magazine Max sont totalement étrangères à l’expression, même paroxystique, du blues de la profession. Le problème est ailleurs. A l’ère des télécommunications, d’internet et du Concorde, quelle mission attribuer à des ambassadeurs, outre celles relatives à la «...
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