Le «fast track» a été sauvé in extremis au Sénat américain

Le Sénat américain va passer, mercredi dans la soirée ou jeudi, comme tout permet de le croire, sa version de la loi anciennement nommée «fast track» qui facilite à l’exécutif la conclusion d’accords commerciaux internationaux. Il le devra en bonne part au vice-président Cheney qui a fait basculer la chaîne interminable de votes partiels lors d’un vote particulièrement important qui pouvait mettre en danger toute la procédure. Le déroulement du débat, depuis mardi, était assez incertain pour ju...