28 janvier 2010, 0h00
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Après le renoncement annoncé mardi par Novartis, il n’en reste plus que sept qui le pratiquent parmi les cent plus grosses sociétés cotées. Du point de vue des investisseurs, rien ne plaide pour le double mandat, note Vinzenz Mathys, porte-parole de la Fondation Ethos. Celle-ci combat cette pratique au nom des règles de bonne gouvernance: puisque le conseil d’administration doit superviser l’équipe de direction, il doit en être indépendant.
Les postes de président du conseil et de président de ...
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