17 avril 2009, 0h00
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Les marchés ont pu laisser planer le doute qu’une baisse des actions ne correspondait plus à une hausse du dollar. Le constat mérite d’être affiné. Lorsque les chiffres sont très mauvais et permettent de constater une déflation (douze mois) aux Etats-Unis, l’attrait pour le dollar se renforce. La production industrielle tombant à son plus bas niveau depuis 1988 a confirmé cette tendance. Le fait que l’immobilier américain n’ait toujours pas trouvé de point d’équilibre n’a pas vraiment affecté la...
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