15 décembre 2004, 0h00
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Parce qu’au fond un marché financier n’est jamais qu’une somme d’opinions contraires qui s’expriment dans un prix, l’unanimité sur la valeur d’un actif ou d’une devise est suspecte. Souvent, elle révèle le plafond ou le plancher d’une tendance. La finance, qui a un nom pour chaque chose, en a un pour les investisseurs qui sentent ces phénomènes: les «contrarians». Faut-il être «contrarian» sur le dollar?
La question est rendue pertinente par le dernier relèvement des taux de la banque centrale ...
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