27 avril 2004, 0h00
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On ne saurait trop se méfier du dirigisme en France. C’est ce que Novartis a négligé de faire la semaine dernière. Cette compagnie suisse s’est en effet lancée dans des négociations avec Aventis pour découvrir, un jour après, que le ministre français des finances avait convoqué les patrons d’Aventis et de Sanofi et martelé devant eux que la seule solution était franco-française. Breakingviews a aussi sous-estimé le dirigisme à la française, en estimant que Novartis finirait par faire une offre. ...
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