27 avril 2009, 0h00
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Walter Kielholz ne voit pas d’un très bon oeil une régulation plus sévère du secteur bancaire. Selon le président sortant du conseil d’administration du Credit Suisse, il existe «un risque que ces changements soient exploités pour introduire des mesures protectionnistes».
Alors que les pays du G20 se sont récemment engagés à renforcer la cadre réglementaire du secteur financier, «les bénéfices d’une régulation supplémentaire doivent encore être démontrés», a estimé vendredi à Zurich M. Kielholz...
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