05 mars 2004, 0h00
Partager
La démission brutale de Philip Watts, le patron du géant pétrolier anglo-néerlandais Shell, suscitait jeudi de nombreuses interrogations au sein de la City, deux mois après un aveu sur le montant des réserves qui avait scandalisé le marché.
Après avoir applaudi dans un premier temps cette décision, la Bourse de Londres se montrait plus circonspecte jeudi, et les doutes et interrogations des investisseurs pesaient sur le titre.
Shell perdait 2,5 pence à 381 en fin de journée, dans un marché en ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT