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Le départ d’Alan Greenspan peut se lire comme la fin d’une époque

L’économiste s’est imposé comme une légende. Toutefois, comme tous les géants, Greenspan fait aussi l’objet de reproches.

29 décembre 2005, 0h00
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Le 31 janvier prochain marquera la fin d’une ère : celle d’Alan Greenspan qui, après dix-huit ans à la tête de la Fed, quittera ses fonctions. Depuis la création de la banque centrale américaine, seuls treize hommes ont présidé l’institution. Parmi ceux-ci, plusieurs peuvent se targuer d’avoir influencé bien plus que la politique monétaire uniquement. Mais le règne de Greenspan se distingue, ne serait-ce que par la durée de son mandat. Depuis la nomination d’Alan Greenspan, les Etats-Unis n’o...
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