15 juin 2007, 0h00
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Avec Gaza au bord de la guerre civile, on ne peut que plaindre le malheureux Mahmoud Abbas, qui a pris la présidence de l’Autorité palestinienne il y a deux ans et demi, après la mort de Yasser Arafat. Universitaire, Abbas a fait tout ce qu’il a pu pour gouverner sans brutalité, en respectant les principes démocratiques et en se démarquant publiquement de la violence. Il n’a pu y parvenir. Tant les factions palestiniennes rivales – son propre parti, le Fatah et les islamistes du Hamas – que les ...
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