13 octobre 2009, 0h00
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Depuis l’introduction de la libre circulation des salariés entre l’Union européenne et la Suisse, il y a sept ans, les pratiques de recrutement ont changé dans bien des entreprises. Plus constructifs lors des entretiens, apparemment plus motivés par les conditions salariales, curieux, flexibles, les candidats frontaliers passent devant les Suisses dans bon nombre de domaines à qualifications basses ou moyennes. Lorsqu’ils parlent entre eux, bien des employeurs reconnaissent ouvertement qu’à comp...
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