03 février 2009, 0h00
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Commandes industrielles en chute libre, hausse inquiétante du taux de chômage et, donc, recul marqué des entrées fiscales: les effets de la crise financière sur les pouvoirs publics pourraient mettre à mal même les politiques les plus conservatrices. Et la Suisse, petit pays dépendant largement du marché extérieur et du secteur bancaire, n’y fait pas exception.
Pourtant, les agences de notation demeurent encore relativement optimistes concernant la solvabilité des comptes helvétiques. «La cap...
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