01 juillet 2004, 0h00
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Penser que les générations futures n’auront à rembourser que les dettes officiellement comptabilisées par les trois niveaux de l’Etat et les assurances sociales projette une image trop favorable de la durabilité des finances publiques. Selon le nouveau bilan intergénérationnel, dévoilé hier par le Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco), il s’avère que la part non financée des dépenses de l’Etat atteint 63,5% du PIB, soit quelque 250 milliards de francs.
Le recours à l’endettement témoigne d’u...
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