09 novembre 2009, 0h00
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guillaume morice*
Prenez un chef d’entreprise, un manager, un chef des ventes. Les chiffres sont leur tasse de thé, les résultats rythment ses journées. Derrière ces résultats, des femmes, des hommes: les vendeurs, les commerciaux, ceux-là même qui représentent la société, véhiculent son image, vendent ses concepts, font bouillir la marmite.
Tout ou presque a déjà été inventé pour valoriser ce personnel influent et en même temps parfois si fragile: séminaires à l’étranger, carottes aux bonus, ...
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