29 avril 2010, 0h00
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Le paradoxe est que bien que la crise ait incontestablement pris naissance aux Etats-Unis, l’activité s’est moins contractée durant la crise aux Etats-Unis qu’en Europe, et a plus rebondi depuis.
Si la croissance a ralenti plus tôt aux Etats-Unis, l’ampleur de la récession a été plus forte en Europe avec une baisse du pic au creux de 5,3% dans l’Union Européenne, 5,2% en zone euro et 6,2% au Royaume Uni.
Seul un pays comme le Japon (-8,4%) a, au sein du monde riche, fait «pire» que l’Europe.
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