03 septembre 2003, 0h00
Partager
Est-ce la fin du capitalisme français? s’inquiétait cet été un économiste hexagonal dans Le Figaro à propos de l’OPA hostile du canadien Alcan contre le groupe Péchiney, de la vente par l’Etat d’une nouvelle partie du capital de Renault et du rachat annoncé de la société de téléphonie mobile SFR par Vodafone. Un pays peut-il voir les meilleurs fleurons de son industrie passer sous contrôle étranger sans réagir? En bonne théorie capitaliste, la réponse est: oui, sans aucun doute. Au marché d’agir...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT