17 janvier 2008, 0h00
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Le secteur helvétique, mais aussi européen, de l’assurance directe fait pour l’instant bien peu parler de lui. Il n’en fait pas moins preuve d’une indéniable fermeté face à la crise financière. Ce dont ne peuvent se prévaloir des compagnies comme l’Américaine AIG, fortement exposée à l’immobilier à risque dans son pays. Sur le Vieux Continent, le groupe néerlandais ING a certes lui aussi vu son essor freiné par son exposition à ce danger. Sur un point pourtant, celui des placements en portefeuil...
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