11 avril 2008, 0h00
Partager
Le livre de Carla del Ponte sur ses activités de procureur auprès du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) ne suscite pas seulement intérêt et controverse en Suisse, en Serbie et en Albanie. La Russie, principale alliée de Belgrade et censeur sévère du TIPY, qu’elle considère comme un instrument au service des intérêts occidentaux, n’a pas raté l’occasion.
Un passage dans lequel Carla del Ponte raconte une enquête avortée sur l’éventuelle participation de l’Armée de libérati...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT