22 février 2001, 0h00
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Oubliées les premières passes d’armes avec les élus européens. C’était durant l’été 99. Philippe Busquin, tout comme les autres candidats au Collège de la Commission européenne, devait montrer patte blanche et répondre de sa foi en l’idéal européen et de ses compétences techniques devant un parterre d’eurodéputés en majorité septiques pour ne pas dire hostiles. Aujourd’hui, c’est un commissaire presque rompu aux arcanes procédurales et politiques communautaires, et convaincu, enthousiaste même, ...
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