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Le crédit ouvre une nouvelle porte à l’horlogerie-bijouterie

Alors qu’Allianz va faire souffrir les Allemands, Josef Ackermann pourra redorer son blason.

26 juin 2006, 0h00
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Tout le monde a les yeux rivés en direction de l’Allemagne. Football oblige. Mais, jeudi dernier, c’est le géant allemand de la bancassurance qui a retenu l’attention des opérateurs et des Allemands. En pleine Coupe du monde, Allianz a annoncé à Munich qu’il sacrifiait près de 7500 emplois dans le cadre d’un plan de réorganisation visant à permettre au groupe d’«inverser la tendance» qui le voit perdre des parts de marché depuis des années. Le moment n’était pas le plus opportun. Il a laissé un ...
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