24 octobre 2007, 0h00
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«Ne le dites pas trop fort, mais il est possible de démarrer dans l’aviation privée avec un budget très limité.» Il est 16 heures, Carl de Verteuil décroche son portable, arrête son véhicule et livre avec fièvre ses impressions de jeune indépendant. Ce cinquantenaire, qui cache ses origines britanniques sous une particule à la française, a mis le pied sur un tarmac bouillonnant. Il y a à peine plus d’une année, il a ouvert sa propre maison de courtage en vols privés. «Je n’avais pas le choix», p...
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