30 juin 2011, 0h00
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La Suisse n'aura finalement pas eu le courage de s'abstenir lors de la désignation de Christine Lagarde à la direction générale du Fonds monétaire international (FMI). La diplomatie s'est rangée sur le consensus dans ce simulacre de compétition. Elle a estimé que soutenir les compétences objectives d'une candidature française forte valaient mieux qu'un signal de soutien aux pays émergents. L'apparent faux pas de René Weber, le représentant au conseil d'administration du FMI qui avait indiqué que...
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