27 février 2004, 0h00
Partager
La France, dont la reprise économique demeure fragile, a uni jeudi sa voix à celle de l’Allemagne pour réclamer à la BCE des mesures pour contrer l’envolée de l’euro, alors que l’expérience montre pourtant que ce genre d’initiative est rarement récompensé.
«Je partage l’avis du chancelier (Gerhard) Schrdöer» sur la situation des taux de la Banque centrale européenne (BCE), a déclaré jeudi le Premier ministre français Jean-Pierre Raffarin.
Le chef de gouvernement allemand venait de lancer à...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT