17 février 2006, 0h00
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Cette semaine, les dieux protégeaient la politique étrangère de l’administration républicaine, et dans cet espace privilégié, Condoleezza Rice, patronne du State Department, manœuvrait magistralement: elle tournait en succès la première audition vraiment critique de sa gestion, mercredi devant la Commission des Affaires étrangères du Sénat.
Condoleezza Rice fait une diversion sur l’Iran
Les questions désagréables – et il y en avait – étaient refoulées en marge par le gros morceau qu’elle j...
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