05 février 2001, 0h00
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L’Union, dont il analyse depuis vingt ans les arcanes pour le compte de nombreuses entreprises helvétiques, dont l’Association suisse des banquiers, n’a plus aucun secret pour lui. Il votera oui à l’Europe le 4 mars, ne serait-ce que par «hygiène mentale». Interview de Jean Russotto, associé, à Bruxelles, du cabinet d’avocats international Oppenheimer, Wolff and Donnelly et président du Comité Suisse-Union européenne, un forum de réflexion qui réunit les responsables des entreprises helvétiques ...
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