04 juin 2008, 0h00
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Le conseiller national valaisan Oskar Freysinger a tiré d’emblée, sans sommation. «L’UDC n’a plus de conseiller fédéral. Nous sommes totalement libres de développer notre projet de société face à un gouvernement bien plus monocolore qu’on ne le dit.» Dans ce débat fleuve sur le programme de législature, cette liberté s’est traduite par un ton acerbe et une opposition boulimique, 80 amendements et 30 propositions de minorités déposés par le groupe UDC. Ceci explique en partie pourquoi la Chambre ...
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