20 mars 2008, 0h00
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Hans-Rudolf Merz est toujours aussi confiant et rassurant. Concernant la crise des marchés financiers et le différent fiscal avec l’Union européenne, le ministre des finances exclut toute intervention de l’Etat, tout durcissement de la loi. Il scrute le paysage helvétique et il voit une place financière en bonne santé. «Il est faux de parler d’une crise bancaire générale.» Seuls l’UBS et le Crédit Suisse ont joué avec la gestion des risques et se retrouvent empêtrés dans la crise américaine.
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