29 juin 2006, 0h00
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Entre le verre à moitié plein et le verre à moitié vide, Joseph Deiss, connu pour son europhilie, devra choisir. A la veille de son départ du Conseil fédéral, le gouvernement a défini hier dans son Rapport Europe 2006 une voie pragmatique qui renonce à faire de l’adhésion un objectif stratégique mais qui a le mérite de laisser toutes les portes ouvertes. Dans le contexte actuel, ce n’était pas gagné d’avance. Il a fallu que le Bureau de l’Intégration, un organe commun aux Départements de l’écono...
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