28 mai 2001, 0h00
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Le Conseil fédéral voulait interdire la transplantation d’organes d’animaux, de tissus ou de cellules d’origine animale sur l’homme (xénotransplantation). Trop de risques d’infection, sur la personne greffée mais aussi sur son entourage. Des essais auraient toutefois pu être autorisés «à titre exceptionnel», si ce risque est exclu et si l’utilité thérapeutique est prouvée.
Le Parlement a retourné le raisonnement
Le Parlement a retourné le raisonnement: les essais sont possibles aux mêmes conditi...
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