14 mars 2000, 0h00
Partager
Le Conseil fédéral n’entend pas remettre en question la nomination de Patrick Aebischer à la tête de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). Du moins, les termes de la réponse faite hier à une question du conseiller national vaudois Marcel Sandoz (PRD) sont on ne peut plus clairs. Ruth Dreifuss estime que «la détérioration du climat est surtout due à des problèmes de communication et non pas à des divergences de fond».
Par conséquent, la ministre ne s’oppose en aucune façon à la volon...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT