31 mai 2001, 0h00
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En juin, le Congrès va entamer son examen périodique des sanctions unilatérales que les Etats-Unis infligent, particulièrement depuis une dizaine d’années, aux pays qui leur déplaisent. Cette année, la revue risque de ne plus être la routine habituelle. Cela tient essentiellement à deux cas: l’Irak, où le maintien des sanctions devient pénible du fait des critiques internationales adressées aux Etats-Unis, et ensuite l’Iran et la Libye, curieux couple devenu un refrain au Congrès, que ridiculise...
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