20 janvier 2000, 0h00
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Même si la Russie est, pour une part au moins, victime de ses vieux démons dans l’attitude qu’elle a adoptée envers la Tchétchénie, il ne faut pas perdre de vue qu’elle est aujourd’hui dans une situation complètement différente de celle qu’elle a connue durant les 70 ans de colonialisme communiste, période durant laquelle il lui suffisait d’envoyer des chars à Prague ou Budapest pour éliminer toute dissidence. Des signes donnent à penser qu’elle est en train de prendre conscience de cette différ...
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