07 janvier 2009, 0h00
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L’heure n’est pas encore à la panique mais la crise devient grave et ses «victimes collatérales» doivent aujourd’hui se féliciter de s’être préparées au pire. La décision de la compagnie gazière publique russe Gazprom de réduire de 90% ses livraisons de gaz à son homologue ukrainien Naftogaz a eu d’importantes répercussions chez certains membres de l’Union européenne (UE). 80% des exportations russes de gaz destinées à l\\\'Europe transitent en effet par le territoire ukrainien. Les livraisons v...
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