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Le conducteur devra-t-il s’effacer derrière l’électronique?

Après les moteurs (émissions), les accessoires, la navigation, l’électronique s’empare de plus en plus des fonctions «actives» de l’automobile. Pour des raisons de sécurité essentiellement.

05 mars 2001, 0h00
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Neuf accidents sur dix ont pour cause une défaillance humaine. Même si le nombre des tués sur la route en Europe a été réduit de trois cents à cent par million d’habitants (0,3 à 0,1 pour mille) en trente ans, la logique des efforts en matière de sécurité routière tend, sinon à supprimer purement et simplement le conducteur, à lui substituer de plus en plus des systèmes automatisés infaillibles. Ce qui était, voici dix ans encore, une vision idéaliste, pour ne pas dire utopique, de l’automobile ...
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