25 février 2009, 0h00
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Bien que blanchi par la Finma, Peter Kurer peut se faire du souci. Présenté comme le sauveur d’UBS lors de sa nomination en avril 2008, le président du conseil d’administration fait de moins en moins l’unanimité. Dans la classe politique et au sein de sa propre banque. Un cadre genevois d’UBS se dit révolté. «Et je peux vous dire que je ne suis pas le seul dans cette banque. Comment est-ce possible que notre groupe soit présidé par quelqu’un, Peter Kurer en l’occurrence, qui devait forcément êtr...
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