05 avril 2006, 0h00
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Présentée comme la panacée au moment où les prix du pétrole s’envolent, le bioéthanol ne semble guère intéresser la branche des betteraviers. Un discours qui contraste avec les efforts faits par Alcosuisse.
Le bioéthanol reste un débouché marginal pour la filière de la betterave sucrière, estime Josef Arnold, directeur des sucreries d’Aarberg et Frauenfeld. La branche travaille pourtant avec Alcosuisse, qui commence à produire du bioéthanol avec des surplus agricoles.
Le bioéthanol suisse ...
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