30 juin 2005, 0h00
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L’estocade a été portée le 2 février, lorsque l’Allemagne a franchi le cap symbolique des 5 millions de chômeurs. Ce n’est pas une surprise: les réformes de Gerhard Schröder comportent, depuis un mois, un ajustement statistique qui explique le dépassement du seuil magique. De plus, des fuites avaient été orchestrées pour préparer l’opinion au choc. Mais ce chiffre phare a développé sa propre dynamique. Car le chômage a pesé lourd dans les défaites des coalitions «rouges-vertes» au pouvoir à Kiel...
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