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Le chef de la diplomatie suisse, porte-parole malheureux des soucis environnementaux et humanitaires

Le conseiller fédéral essuie un refus poli à propos du protocole de Kyoto et du conflit israélo-palestinien, mais il y a un espoir sur l’Irak.

11 avril 2001, 0h00
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La politique étrangère de l’administration Bush va bien dans la direction générale d’une réserve plus prononcée après l’activisme, parfois épisodique, de Clinton. Ni le détail, ni même les grandes lignes stratégiques de cette nouvelle retenue dans les affaires de la planète ne sont encore établies. Ils risquent même de n’être énoncés qu’au cas par cas, lorsque les événements forceront Washington à préciser ses intentions. Joseph Deiss, le chef de la diplomatie suisse, vient d’en faire l’expérien...
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