26 janvier 2010, 0h00
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Le discours du président Obama de jeudi dernier a créé le choc. L’opinion publique n’a demandé rien d’autre que d’enlever toute ambiguïté au sujet du traitement du monde de Wall Street. «Si vous voulez la guerre, vous l’aurez.» C’est ainsi que le président a mis en garde les banquiers, dont les efforts de lobbying ont eu un effet contraire d’autant plus fort qu’il a constaté un retour aux anciennes pratiques de bonus insolents au sein des chefs de file de l’opposition. Obama semble donc avoir ch...
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