27 juillet 2000, 0h00
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Le feuilleton internet de l’été, Amazon la série noire, va bientôt devoir être baptisé Titanic, tant le navire phare du commerce électronique grand public (B2C) a du mal à ne pas inspirer l’image d’un naufrage, y compris à l’équipage. A la dignité des capitaines de paquebot, les managers de l’entreprise préfèrent, en effet, la prudence de ceux qui se précipitent vers les chaloupes au premier grain. Après la vente fin juin d’un gros paquet de ses actions à un mauvais moment par le fondateur, Jeff...
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