16 mars 2004, 0h00
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«Beaucoup d’analystes avaient trop réduit les attentes de croissance aux Etats-Unis après les événements du 11 septembre 2001. Ils avaient été obligés de les rehausser quelques semaines plus tard.» Andreas Höfert, chef économiste d’UBS à Zurich, recommande de ne pas céder à la panique suite aux récents attentats de Madrid. Les craintes liées à une vague d’actions terroristes ne devraient pas à elles seules modifier de manière radicale la situation économique en Europe.
Le stratège n’est pas p...
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