13 avril 2010, 0h00
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Dans la zone frontalière, les effets du franc fort restent volatils. En s’y promenant, on constate à quel point le tourisme du carburant est essentiellement d’une nature capricieuse. A l’inverse des flux d’achats dans la viande, qui sont plus sensibles aux effets de prix qu’aux aspects locaux et identitaires – du moins selon la version de la grande distribution (L’Agefi, 12 avril 2010). Premier constat: l’essence vendue en Suisse continue donc d’être attrayante malgré un franc fort. La situation...
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