26 juin 2000, 0h00
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La disparition, vendredi, du puissant banquier Enrico Cuccia à l’âge de 92 ans, clôt une page de l’histoire du capitalisme italien alors que le paysage financier de la péninsule traverse une lente mais profonde recomposition.
La mort de ce petit homme austère qui a régné pendant plus de 50 ans sur la banque d’affaires Mediobanca et sa galaxie de participations, pourrait donner un coup d’accélérateur à la recomposition de secteur bancaire et de l’assurance italienne, à commencer par celle du «rés...
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