10 avril 2006, 0h00
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Ce que nous avions identifié comme deuxième faille, soit le soutien chinois au dollar ou plutôt son retrait, a été largement mis en évidence cette semaine. Il a suffi qu’un parlementaire chinois, sans aucun pouvoir décisionnaire officiel y fasse publiquement allusion pour que le billet vert recule. Dans ce pays où la liberté d’expression n’est pas franchement encouragée, nous supposons que de tels discours sont scrupuleusement planifiés et bien entendu autorisés. Ils s’inscrivent délibérément da...
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