27 janvier 2011, 0h00
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Un an et demi après le pic atteint par le chômage partiel en mai/juin 2009, des économistes de Credit Suisse se sont employés à tirer des conclusions sur l'impact du recours sans précédent à cet instrument de politique sur le marché de l'emploi. Une étude précédente du KOF sur la récession de 2001-2003 était arrivée à la conclusion que le chômage partiel non seulement n'exerçait aucun effet positif sur la propension des entreprises à conserver leur personnel, mais qu'il exerçait même un effet né...
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