20 octobre 2015, 22h54
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Premier constat: l’oligarque russe Viktor Vekselberg, redouté lorsqu’il est devenu investisseur actif en Suisse dans les années 2000, s’est montré beaucoup plus patient que prévu avec ses participations. Aucun démantèlement rapide des conglomérats pour ne garder que les meilleurs éléments. Pas de délocalisations d’une partie de la production vers la Russie non plus. Des transferts de technologies en revanche, conformément à ce qu’il avait annoncé dès le départ. Il lui faudra toutefois beau...
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